Face à la multiplication des contestations de l’économie capitaliste et des appels à une refonte du système, les auteurs proposent de s’attaquer à la comptabilité des grandes sociétés capitalistes.
Ils démontrent que pour sauver le vivant, il faut changer le mode de calcul des performances des grandes firmes et intégrer dans leurs bilans comptables le capital naturel ainsi que le capital humain.