Le principe du « pollueur payeur » semble communément admis. Un dommage écologique, souvent à l’origine de dommages humains, aurait ainsi une traduction monétaire juste.
Mais alors, comment déterminer le montant dû ? Est-ce vraiment la solution la plus efficace pour surmonter la crise écologique ? Faut-il « mettre la nature à prix » pour la préserver ? Les outils inventés par les économistes à cet effet sont-ils fiables ?